L'école Diwan Bro Roazhon organise le samedi 15 octobre 2011 dans ses locaux à Rennes un kig ha farz ouvert à tous.
Par Jean-Luc Aulnette pour Sel de Bretagne le 6/09/11 9:04
L'école Diwan Bro Roazhon organise le samedi 15 octobre 2011 dans ses locaux à Rennes (31, bd du Portugal), à 19 h, un kig ha farz ouvert à tous.
Un kig ha farz, c'est une spécialité bretonne, du Léon plus précisément. Il s'agit d'un copieux bouillon, dans lequel mijotent à feu très doux différentes viandes ("kig") et beaucoup de légumes.
A mi-cuisson, on y ajoute le farz (épaisse bouillie de sarrasin ou de froment) que l'on enferme dans un sac en toile qui ne doit pas toucher le fond de la marmite pour éviter de coller.
Kig ha farz pratique
Adulte : 14 euros
Enfant de 11 à 14 ans : 8 euros
Enfant de 2 à 10 ans : 6 euros
Repas comprenant un apéritif, un potage, le plat principal, dessert, café et une boisson
le dimanche 6 novembre à 12 h , kig ha farz à Molac /moulleg /moula, pour skol diwan Kistreberzh , puis fets deiz à 15 h, avec ferzae, huitellour noz et les chanteurs Kersanté-Ar Martret.
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Ifidj a Lesneñen Le Samedi 15 octobre 2011 20:16
sachit ganeoh ! bon appétit !
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beurtagne Le Samedi 15 octobre 2011 21:07
Sans vouloir faire une critique trop sérieuse, je métonne néanmoins fortement que les écoles Diwan fassent dans toute la Bretagne des "Kig ha fars" plat typiquement léonard. Je sais que les écoles Diwan sont souvent impulsés par des léonards mais quand même .... C'est quand meme le mouvement gallo qui se plaint (à juste titre) un peu de l'emprise culturelle de la basse bretagne et ..à Molac, en pays gallo on fait un kig ha fars ! j'ai toujours vu dans les repas soutenant Diwan des kig ha fars. pourquoi pas mais bon , il n'y a pas que ça en Bretagne. et c'est tout de meme un plat trés localisé. voilà ne le prenez pas mal , expliquez moi où j'ai mal compris l'histoire.
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Emile Granville Le Samedi 15 octobre 2011 21:30
Allons bon ! Voici maintenant qu'au nom du gallo, on voudrait interdire le Kig ha Farz en Haute-Bretagne. Biskoazh kement-all ! A quand l'interdiction, du Kouskous, de la Pizza, de la Paëlla, ... Question à l'ABP: pourquoi les pseudonymes sont autorisés dans les commentaires. Il serait quand même plus loyal et plus transparent que tous le monde s'exprime à visage découvert ...
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Beurtagne Le Samedi 15 octobre 2011 21:57
j'ai dit "ne le prenez pas mal"! ce n'est pas une question d'interdire (vous caricaturez mon commentaire)mais plutot "pourquoi les repas de doutien de Diwan sont toujours du Kig ha Fars ? et pourquoi pas un couscous pour diwan oui , tiens bonne idée.on en fait des tres bons en Bretagne aussi. ou un jarret frites, ou un cassoulet oui pourquoi pas pourquoi toujours cantonner diwan au "folklore breton"? et ne caricaturez pas en "on veut interdire le kig ha fars en pays gallo" merci
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Louis Le Bras Le Samedi 15 octobre 2011 22:22
Vous voyez beaucoup de parisiens ou d'arabes manger du Kig-ha-Farz, vous ?
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Fabien Lécuyer Le Dimanche 16 octobre 2011 09:31
Emile Granville : Les 3/4 des intervants utilisent un pseudo comme dans à peu prêt tous les forums et sites de journaux. A tous : Effectivement quand une asso fait une affiche avec marqué "repas Kig ha Farz" en Haute-Bretagne, les gens ne comprennent même pas ce que ça veut dire. Personnellement je n'ai rien contre le kig ha farz ni contre le poulet tandoory (miam !) mais si les assos bretonnes sont censés être "représentatives et gardiennes de la culture du peuple breton", ce paradoxe devrait nous poser problème. Imaginez que dans le Léon, l'AEP d'une école Diwan fasse une affiche avec "goûter cimeriaos" ou "journée ramaoujerie de pomë", à part les curieux et les désoeuvrés on risque de ne pas avoir grand monde. Et effectivement le kig ha farz est un plat très localisé, un peu de diversité gastronomique ça ne ferait pas de mal dans le monde du breton
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Alwenn Le Dimanche 16 octobre 2011 10:53
Puisque le "Kig ha farz" est un plat trop "bretonnant" et trop "localisé", je propose un repas "MacDo". Au moins, tout le monde saura ce que c'est.
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Yann le Bleiz Le Dimanche 16 octobre 2011 12:46
@ Breutagne Le fond de votre argumentation est surtout basé sur votre incapacité à défendre la gastronomie de haute-Bretagne! Alors, vous attaquez les autres bretons! Pas joli, joli! Avoir de l'ouverture d'esprit ce n'est pas adopter la culture des autres (couscous, cassoulet), mais connaître sa culture pour pouvoir échanger avec les autres. Alors Monsieur, cessez de critiquer et présenter nous ce que vous savez mijoter de bon par chez vous! Donnez-nous l'eau à la bouche!
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Emile Granville Le Dimanche 16 octobre 2011 14:50
Puisque les commentateurs ont des pseudonymes, on peut dire n'importe quoi, créer de la polémique artificiellement, et rester caché derrière son ordinateur. S'agit-il là de la belle démocratie des réseaux sociaux à visage découvert qui demandent plus de transparence ? Puisque l'on est dans l'inconnu, on peut alors supposer que le commentaire de Beurtagne contre le Kig ha Farz en Haute-Bretagne pour les repas de Diwan, c'est Fabien Lécuyer. Qui peut me dire la vérité sur ce point ? Peut-être un autre pseudonyme qui s'appelera bidulle ? Tout cela, pour moi, est décevant et pas suffisamment clair.
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Fabien Lécuyer Le Dimanche 16 octobre 2011 15:56
Emile Granville, je n'ai personnellement pas besoin de pseudo pour donner mon avis sur l'ABP. D'autre part, Beurtagne, pour moi c'est BERTAIGNE. Sinon Emile, rappelle toi un peu de temps à autre que tu es GALLO, ça te fera du bien. Yann Le Bleiz : Pas bête les remarques.
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Yannig Bichon Le Dimanche 16 octobre 2011 16:58
Exactement le genre de commentaires que les anti réunification aiment lire pour bien en rigoler, et démontrer que parler breton ou gallo, la réunification et toute autre revendication sont inutiles. Après ce sera quoi? Le cidre contre le chouchenn? Et que diront les fabricants de bière dans tout ça? Et le Muscadet, le Gros-Plant? Le breton et le gallo sont langues de Bretagne. Nous sommes Bretons. Alors soyons unis, que ce soit autour d'une assiette de kig ha fars, d'une crêpe ou une galette-saucisse. Pensez d'abord aux intérêts de la Bretagne avant toute chose, parce que ce genre de débat est loin d'être constructif pour elle!
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Caroline Le Douarin Le Dimanche 16 octobre 2011 17:07
Le kig ha fars, un plat très localisé... Il y a longtemps, oui. Ce qui distingue le kig ha fars du pot-au-feu ordinaire "français", c'est qu'il a en plus le "fars" justement, de la farine de blé noir cuite dans le jus dans un sac pour ne pas s’éparpiller dedans. Et comme on cultive à nouveau du blé noir en Bretagne, dont en Loire-Atlantique – j'ai vu des champs il y a 2 ou 3 ans près de Saint-Nazaire – on ne va se mettre à faire du chauvinisme réducteur entre Haute et Basse Bretagne, entre gallo et breton, entre Hauts Bretons et Bas Bretons... Y en a marre ! Mon clavier a bien résisté, ouf. On en reviendrait au XIXe siècle qui a vu les différenciations infimes dans des coiffes et dans des danses de bourgs à 30 km l'un de l'autre, juste pour être "pas comme le voisin"... À notre époque, ce genre de querelles ne devrait plus exister. On est tous des Bretons... PS 1 On pourrait l'appeler "pot-au-feu breton" quand il est fait en Haute Bretagne, pour ne défriser personne. Alors perag ket "fête de nuit" pour les festoù noz de Haute Bretagne. Ridicule, non ? PS 2 Quant à se targuer de gastronomie en Bretagne, je ris, mais c'est un autre débat...
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Emile Granville Le Dimanche 16 octobre 2011 17:42
Non merci, je vais bien comme cela. Je suis Breton, cela me suffit. Mais, comme tout le monde le sait: l'identité bretonne est multiple, donc il y a de la place pour tout le monde bien évidemment ...
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Boris Karloff Le Dimanche 16 octobre 2011 21:22
le kig ha fars est une recette de grand-mère édentée perdue dans sa cour de ferme, alzheimer aidant, quelque part sur les hauts plateaux léonards , spécial clin d'oeil à Fabien Lécuyer...
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Thierry Jolivet Le Dimanche 16 octobre 2011 22:55
Molac, est au carrefour, confluent du Pays Gallo et de la Bretagne Brittophone (limite 1820...un exemple, la bannie des lois y était faite en Breton et français à la Révolution) comme le reste du Pays d\'A bas (Questembert-Muzillac: bordé par le Trévelo et Caden à l\'est, les landes de Lanvaux au nord) mais ce la n\'en fait pas une commune réellement gallo, sauf à y importer de force, des concepts rennais, ploermelais ou redonnais...ras le bol de ce négationnisme francophone ou soit disant néo gallo ! c\'est une zone complexe, ballotée par plusieurs pôles, débretonnisée progressivement à partir de la Révolution et de la Vilaine, longtemps mixte par endroits, des communes au parler gallo comme langue de substitution post breton 19 è pour certaines ou dite \"gallo par défaut\", et d\'autres oû il n\'y a plus de breton ni jamais eu de gallo (sauf mobilité des gens :-) ou peu par les patou/bugul envoyés côté gallo, apprendre du français/gallo, même si ces communes ne parlent plus breton, elles considèrent sur le plan identitaire que les gallos sont au nord ou à l\'est de chez eux, désolé langue, identité, etc ne se superpose pas toujours...d\'oû la légitimité des localités en gallo et en breton, d\'une école Diwan à Questembert avec initiation éventuelle au gallo, notre association a travaillé sur des collectages tant en breton local (!) qu\'en Français ou chants dits \"gallos\" et le patrimoine...quand à mettre sur des cartes par erreur, ignorance excusable ou malveillance, un trait continu (et non en pointillé) de frontière linguistique avec du gallo à l\'ouest de Questembert et de Muzillac, c\'est inexact et grossier ! Un trait en pointillé sur les villes concernées serait plus exact. Dans le gallo, là aussi comme ailleurs, il faut se méfier de la ferveur déraisonnable des nouveaux convertis du gallo,...Pour autant, le breton a aussi sa légitimité sur toute la Bretagne (histoire bretonne commune, basculement de population vers l\'est, besoin d\'identité forte commune, interculturalité...)...et ailleurs, quitte à le moduler différemment évidemment, , le breton n\'est pas voué à être fossilisé dans les monts d\'Arrée, les champs du pays Pourleth ou de Plaudren...quand bien même il y puise ses racines. Enfin, la Bretagne est trilingue et donc un des pays francophones (et surtout cela, c\'est ainsi) avec une culture riche et des auteurs...les plats comme les danses voyagent, on peut faire plein d\' autres choses évidemment, d\'ici ou d\'ailleurs, avis aux bénévoles, des bats d\' la goule y\'en a ardi ! ...pour autant, chez nous cette potée bretonne 9è édition, est en phase avec les pôtées des repas de chapelles locales ou du youd local... ps: ceux qui attaquent le breton chez nous, par complexe identitaire, ignorance, révisionnisme, imbécilité ou idéologie inquiétante, ne font rien pour le gallo quand on leur propose du concret...c\'est bon !
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beurtagne Le Lundi 17 octobre 2011 21:43
C'est fou ce que certains d'entre vous sont agressifs. Certains d'entre vous ne répondent que par : papiers s'il vous plait ! ou tu es un ennemi de la cause il faut arreter ! un peu de reflexion s'impose à tous niveaux sur l'image de la Bretagne. le kig ha fars est un prétexte. Je ne suis pas Fabien lécuyer, et je trouve lassant de voir toujours effectivement ces "kig ha fars " qui etaient inconnus dans la quasi totalité de la Bretagne hormis le Léon. Cette propension des nord-finisteriens à croire que tout le monde en Bretagne a les mêmes traditions que leur terroir est un peu (voire trés) énervant . sinon reprenez sur google : repas de soutien diwan et la plupart du temps c'est "kig ha fars". d'ailleurs ce n'est meme pas une question de "breton ou gallo" car les zones bretonnantes du morbihan ne connaissent pas traditionnellement le kig ha fars. cessez d'utliiser à chaque fois que quelqu'un essaye de poser des questions, la dévalorisation de votre interlocuteur. Je suis à fond pour la réunification mais contre cette image de carte postale de la Bretagne , en pays gallo on connaissait "la potée" mais pas cette technique bien particuliere de "kig ha fars". D'ailleurs, je ne suis pas sur que cette "finisterisation" de l'image de la Bretagne joue en faveur de la réunification. Si les gens connaissaient un peu plus le gallo, ils verraient bien que ce qu'ils appellent patois brieron, ou metayer, vieux parler nantais ou je ne sais quoi est du gallo. Si on arretait aussi par exemple, le cliché bretagne = toits ardoisés pentus + pas de vigne+ cidre + chouchenn+ kouign amann+ kig ha fars etc...., les gens du pays de retz se poseraient moins de questions .... je pose des questions et je vois que le rédacteur en chef n'est pas aussi loin que ça de mon interrogation.
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Yann Le Bleiz Le Mardi 18 octobre 2011 12:34
@ Caroline Le Douarin "La gastronomie en Bretagne, je ris..." Vous pouvez nous expliquer cela? Est-ce que la gastronomie est uniquement une spécialité française, né du rafinement extrème de ce peuple, et que tous les autres (bretons inclus) sont des tambouilleurs? Un peu comme la langue, la belle langue universelle et les baragouineurs...! Désolé, mais il y a beaucoup de restaurateurs bretons décomplexés qui défendent, et de plus en plus, notre art culinaire (autre que la crêpe). J'ai même rencontré des restaurateurs français (pas bretons) qui étaient fiers d'avoir un restaurant breton (sans crèpes). Je pense notamment à ce sympatique restaurateur auvergnat qui avait son resto 100% breton à ... Sète! Et qui rigolait de ces touristes bretons qui découvraient qu'il y avait autre chose chez eux!
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Alwenn Le Mardi 18 octobre 2011 15:06
@ Fabien "A tous : Effectivement quand une asso fait une affiche avec marqué "repas Kig ha Farz" en Haute-Bretagne, les gens ne comprennent même pas ce que ça veut dire. Personnellement je n'ai rien contre le kig ha farz ni contre le poulet tandoory (miam !) mais si les assos bretonnes sont censés être "représentatives et gardiennes de la culture du peuple breton", ce paradoxe devrait nous poser problème. Imaginez que dans le Léon, l'AEP d'une école Diwan fasse une affiche avec "goûter cimeriaos" ou "journée ramaoujerie de pomë", à part les curieux et les désoeuvrés on risque de ne pas avoir grand monde." Je ne vois pas de quel paradoxe tu parles : 1 - Si Diwan organise des "kig ha fars", c'est que des gens suffisamment nombreux viennent à ces repas, sinon je ne vois pas l'intérêt pour Diwan d'en proposer. Donc quand tu dis : «à part les curieux et les désoeuvrés on risque de ne pas avoir grand monde», c'est de l'information ou une supposition (peu vraisemblable) ? 2 - Les "kig ha fars" Diwan, c'est à peu près ... une fois par an. Quel serait l'intérêt de faire des plats ou des potées que l'on fait habituellement en Bretagne orientale, ou de faire des moules frites, ou de la paëlla, ou du couscous ? 3 - Le «domaine de compétence» de Diwan n'est pas particulièrement la gastronomie. Demander à Diwan de représenter la gastronomie bretonne dans toute sa diversité n'a pas beaucoup de sens. 4 - Le "kig ha fars", tout «local» qu'il est, est un plat tout à fait particulier et qui gagne a être connu ! Et personellement, je donnerais mon royaume pour un "kig ha fars" ! @ beurtagne Tu sembles vraiment à côté de la plaque (ceci dit sans aggressivité) «je trouve lassant de voir toujours effectivement ces "kig ha fars " qui etaient inconnus dans la quasi totalité de la Bretagne hormis le Léon. Cette propension des nord-finisteriens à croire que tout le monde en Bretagne a les mêmes traditions que leur terroir est un peu (voire trés) énervant.» Je ne vois pas pourquoi le "kig ha fars" devrait rester inconnu du reste du ... monde. Les nord-finistériens ne croient pas «que tout le monde en Bretagne a les mêmes traditions que leur terroir.» Où a-tu vu ça ? Personne n'empêche personne de faire connaître ces propres spécialités «locales». Faites connaître vos propres spécialités. Qui vous en empêche ? Ce n'est quand même pas le rôle de Diwan. Sinon, belle mise au point de Thierry Jolivet.
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Naon-e-dad Le Jeudi 18 octobre 2012 16:44
L\'école Diwan Bro Roazhon organise le samedi 20 octobre 2012 dans ses locaux à Rennes (31, bd du Portugal), à 19h, un kig-ha-farz, réservation au même numéro de téléphone ! Adulte : 15 euros / enfant : 10 euros.