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Parti Breton
- Communiqué de presse -
Ukraine: l'Avis du Parti Breton/ Ukraina: Ali Strollad Breizh
Gwelout an destenn vrezhonek dindan an destenn c'hallek. " République une et indivisible " ou référendum populaire ? La guerre fait rage en Ukraine. Il est bien difficile d'être correctement informé
Par Sébastien Girard pour Parti Breton le 13/02/15 11:42

Gwelout an destenn vrezhonek dindan an destenn c'hallek.

" République une et indivisible " ou référendum populaire ?

La guerre fait rage en Ukraine. Il est bien difficile d'être correctement informé et de faire la part des choses entre la propagande ukrainienne et la propagande russe. Néanmoins, il y a quelques principes que, du point de vue breton, nous pouvons souligner.

Les Etats-Unis ne doivent pas prendre le risque d'armer davantage les Ukrainiens, ce qui conduirait à une nouvelle escalade. La Russie voit avec inquiétude l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) se renforcer sans cesse à ses frontières. De ce point de vue, les Etats Baltes, qui sont devenus membres de l'OTAN, n'ont pas de crainte à avoir sur une intervention russe, ce qui signifierait une guerre généralisée. Jusqu'à maintenant l'alignement européen sur les positions américaines n'a pas contribué à résoudre le problème. Sinon rajouter à la crise de la crise. Les sanctions économiques payées par la population russe ne font qu'exacerber le nationalisme russe. Et ici, en Bretagne, comme ailleurs, l'embargo russe nous prive d'échanges commerciaux importants pour l'industrie et l'agriculture. Des échanges commerciaux normaux et sereins qui contribuent aussi à développer les standards démocratiques occidentaux dans un pays qui n'est pas encore sorti du fonctionnement totalitaire de la période communiste.

Le président français et la chancelière allemande souhaitent désamorcer l'engrenage de la guerre. La démarche de la France et de l'Allemagne, pour l'occasion, est louable. Mais où est l'Europe ? Ces démarches individuelles prouvent une fois de plus l'absence d'une Europe forte, politiquement indépendante et fédérale. L'intransigeance du pouvoir central ukrainien s'appuie sur le principe bien connu en Bretagne d'une " république une et indivisible ". La France et les autres Etats européens se positionnent aussi pour l'intégrité territoriale de l'Ukraine au nom de l'intangibilité des frontières des Etats-Nations.

Faut-il attendre plus de 5 300 morts et certainement des milliers de blessés, l'anéantissement de la vie sociale, la destruction des biens privés et des équipements publics dont il faudra bien collectivement financer la reconstruction, pour se poser la bonne question ? Dans un monde civilisé, on discute, on donne la parole au peuple aux moyens de consultations populaires et de référendums. On ne construit pas une politique humaine sur le principe d'une " république une et indivisible ". Que la population du Donbass soit démocratiquement consultée par référendum, avec un mandat international ! Sur trois questions : rester dans l'Etat centralisé ukrainien, avoir un statut fédéral ukrainien, être intégrés à la Russie.

Pour le Parti Breton, il est totalement aberrant et pitoyable d'être encore en situation de guerre, au c½ur de l'Europe, au 21ème siècle, pour des questions de frontières. Les questions d'appartenance et de gouvernance doivent trouver leur solution dans une organisation fédérale et dans le respect des choix territoriaux démocratiquement exprimés des populations concernées.

Émile Granville

Porte Parole du Parti Breton

" Republik unan ha disrannadus " pe referendom ?

Oc'h ober reuz ha freuz emañ ar brezel e Bro-Ukraina. Diaes-tre eo bezañ kelaouet mat ha dirouestlañ ar wirionez diouzh ar gaou etre ar propaganda ukrainat hag ar propaganda rusian. Koulskoude e c'haller menegiñ un nebeud pennvennozhioù diwar hor savboent breizhat.

Salv na gemero ket ar Stadoù-Unanet ar riskl da lakaat eoul war an tan o reiñ muioc'h a armoù c'hoazh da Vro-Ukraina ! Nec'het e vez Bro-Rusia gant AENA (Aozadur Emglev Norzh Atlantlel) a vez o kreñvaat muioc'h-muiañ ouzh he harzoù. Evit kement-se, n'o devez ket ar broioù balt, deuet da vezañ izili AENA, da gaout aon rak un dagadenn rusian. Talvezout a raje da neuze da vrezel bras da vat. Aet eo ar broioù europat da heul an emzalc'h amerikan. N'eo ket bet dirouestlet ar gudenn evit kement-se avat, pell alese zoken ! Lakaet ez eus bet bec'h war vec'h ha netra ken. Ar c'hastizoù ekonomikel bet lakaet war chouk poblañs Rusia a c'hwezh war tan ar vroadelouriezh rusian. Amañ e Breizh evel e lec'hioù all, an embargo rusian hon laka da zioueriñ eus marc'hadoù a bouez evit ar greanterezh hag al labour-douar. Eskemmoù kenwerzhel reizh ha sioul a servij ivez da ziorren doareoù demokratel boutin eus tu-mañ ar c'hornôg en ur vro hag a zo strobet c'hoazh he mont en-dro hollveliour ouzh amzer gozh ar gomunouriezh.

C'hoant o dije ar prezidant gall hag ar gañsellerez alaman da lakaat un termen d'ar brezel diroll. Ra vo meulet amañ intrudu Bro-C'hall ha Bro-Alamagn ! Hogen, pelec'h emañ Unaniezh Europa ? Diskouez a ra an intrudu hiniennel-mañ bezañ ar brouenn ma ra diouer deomp un Unaniezh Europat kreñv, ez-politikel dizalc'h ha kevredadel. Savboent dibleg ar galloud kreiz ukrainat a zo diazezet war pennaenn ar " republik unan ha disrannadus ", anavezet mat e Breizh siwazh. En em zisklêriañ a ra Bro-C'hall hag ar Stadoù europat all evit unanded tiriadel Bro-Ukraina ivez en anv digemm start harzoù ar Stad-Broadoù

Ha ret eo bet gortoz ouzhpenn 5300 den marvet ha moarvat milliadoù a dud c'hloazet ? Diskar ar vuhez sokial, distruj ar madoù prevez hag ar savadurioù publik hag a rankimp adframmañ n'eus forzh penaos diwar arc'hant an holl ? En ur bed sevenet e komz an dud an eil ouzh egile. Reiñ a reer ar gaoz d'ar bobl oc'h aozañ kuzuliadegoù poblek pe poblvouezhiadegoù. Ne saver ket ur politikerezh denel diwar pennaenn ur " republik unan ha disrannadus ". Ra vo goulennet soñj poblañs Donbass en un doare demokratel dre referendom gant un asant etrebroadel ! War dri c'houlenn: chom e-diabarzh ar Stad unanet ukrainat, kaout ur statud kevredadel ukrainat, bezañ ebarzhet e Rusia.

Evit Strollad Breizh ez eo diboell a-grenn ha truezuz bezañ o vrezeliñ e-kreiz Europa, en 21vet kantved, evit kudennoù harzoù. Pa vez anv eus kudennoù hag a denn da stagañ ul lodenn eus ur vro d'ur vro all pe d'an doare da ren ur vro kreizennet e ranker klask an diskoulmoù en un aozadur kevredadel, o kaout doujañs ouzh dibaboù tiriadel eztaolet ez-demokratel gant ar boblañs.

Emile Granville

Porte parole du Parti Breton

Mouezh aotret Strollad Breizh (11/02/2015)

Voir aussi sur le même sujet :
Le Parti Breton a pour but de rassembler, d'unir et d'organiser tous les bretons et amis de la Bretagne décidés à réveiller la conscience nationale du Peuple Breton afin que celui-ci se dote enfin des structures politiques, économiques, sociales et culturelles lui permettant d'assurer en tant qu'entité internationalement reconnue, son avenir et son épanouissement dans le cadre d'une Europe des Peuples et de la Solidarité
[ Voir tous les articles de Parti Breton]
Vos 19 commentaires
PIERRE CAMARET Le Vendredi 13 février 2015 17:41
Bravo . C'est tout simplement logique .
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M.Prigent Le Samedi 14 février 2015 04:55
On ne va quand même pas se payer encore une guerre en Europe au prétexte que l'intangibilité des frontières souvent arbitraires l'emporte sur "le droit de peuples à disposer d'eux-mêmes".
La solution, bien entendu est le fédéralisme, ce mot qui en France est synonyme de blasphème.
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SPERED DIEUB Le Samedi 14 février 2015 09:30
Votre avis, somme toute respectable , est un exemple parmi bien d'autres de prises de positions qui est nuisible à la perception et la promotion dans l'opinion de la nécessité pour la Bretagne de s'émanciper. Cette idée phare est victime de thèmes d'actualité ou autres que l'on met en avant et qui divisent ,alors plus que jamais on devrait s'en tenir des thèmes fédérateurs qui mobiliseraient du régionalisme au nationalisme modéré .Maintenant à titre personnel rien n'empêche un militant d'une organisation bretonne d'exprimer un avis sur ABP ou autre tel que vous l'avez fait ici
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PIERRE CAMARET Le Samedi 14 février 2015 10:34
Il y a aussi les evaluations :
Cela a t- il ete fait ???
Au temps de l'URSS , des territoires pouvaient passer d'une Republique a une autre , sans incidence geopolitique ( exemple : la Crimee ).
L'eclatement de l'URSS a donc cree des nouvelles donnees .... Plus difficile a gerer .
Mon avis personnel, NATO a ete trop vite et a sousestime les reactions de POUTINE .
POUTINE est un "Jacobin"Russe.
Le Droit des peuples a disposer d'euxmemes , helas nous n'en sommes pas encore la .
Les Francais ont solutionne. Dans l'hexagone , il n'y a pas de probleme un seul peuple : le peuple francais,
comme l'a redit un premier Ministre francais , dont j'ai oublie le nom .
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Yann LeBleiz Le Samedi 14 février 2015 11:23
Cet article est intéressant et courageux, du fait de l'information très dirigée reçu sur ce sujet.
Tout le monde savait qu'en Ukraine, il y avait des questions à solutionner.
Tout d'abord, il faut rappeler que l'Ukraine est profondément européenne depuis toujours, c'est même une Europe en miniature, car vous y rencontrez des gens d'origines Scandinave, Slave, méditerranéenne grecque (et même asiatique pour le cas très spécifique des Tatars).
Ce fait est caché par les médias, et l'Europe n'exprime aucun respect pour ces populations européennes en leur claquant la porte au nez, et les considérant comme des "sous" russes, voir comme des "sous" Européens!
Par un fait d'histoire, l'Ukraine (Kiev) est aussi le berceau de la Russie, mais les Ukrainiens actuels sont plus proches culturellement des polonais.
Ce qui n'a pas empêché les Russes de les considérer, comme là aussi comme des "sous" russes, au point de commettre un génocide (5 million de morts).
Pendant la guerre, les indépendantistes Ukrainiens se sont rapprochés du régime nazi pour se débarrasser de l'occupant Russes/soviétiques (reflexe qui s'est passé ailleurs en Europe).
Les Ukrainiens veulent véritablement intégrer l'Europe (ils ont leur place), du fait les populations russes se sentent plus confortables en se rapprochant de la Russie.
Cette question devenue majeure devait être réglée pour maintenir le vivre ensemble.
L'Europe à dit ouvertement NON à l'Ukraine, trop impressionné par l'arrivé d'un pays de cette dimension (ils ont le tord de ne pas être musulmans, histoire d'évoquer un autre exemple du moment).
La Russie souhaite légitiment être rassurée sur le fait que l'UE n'est pas le cheval de Troie de l'OTAN (des USA). Elle demande à renouer des liens européens avec l'Europe, ce que l'Europe refuse... et ce qui stress légitimement Moscou qui se pose la question de savoir qui pilote vraiment le bateau Europe? (Les Européens ou les Américains?)
La position de l'Europe est inacceptable pour les Ukrainiens, car elle abaisse l'Ukraine à un pays voué à se soumettre à ses voisins Européens et Russes... Un pays "no man's land".
Cette situation de non respect attise les tensions interne Russes-Ukrainiens.
Avec pour résultat : des Ukrainiens valorisant le modèle Etat-Nation de l'UE, les Russes pas décidé de disparaître au nom de ce genre de théorie loufoque...
Les Russes de Russie, eux, estimant de leur devoir de ne pas abandonner les populations russes face à une telle situation.
L'Europe et notamment la France ont dit "NON à une solution démocratique" qui aurait proposé aux peuples la question du Statut-co, du fédéralisme, ou du rattachement à la Russie.
L'Allemagne est coupable, car la question de la stabilité des frontières l'obsède depuis l'épisode douloureux de la 2ème mondiale (pour elle, toucher aux frontières, c'est toucher à la paix... donc pas touche!)
La France est encore plus coupable, car elle ne souhaite pas voir en Europe la Démocratie des peuples l'emporter sur un Etat-Nation (le fameux "Une et Indivisible, l'Etat fait la Nation et en aucun cas les peuples").
Résultat, sur ce dossier, l'Europe bafoue ses valeurs de Démocratie et de respect des Droits de l'Homme, au point de considérer une guerre civile comme préférable!
C'est dire si l'Europe (des Etats-Nations) est malade, c'est dire s'il est temps que les peuples reprennent le pouvoir sur les Etats comme l'exige les valeurs de la Démocratie.
Comme je l'ai déjà dit, à part la Crimée, il est fort probable qu'un statut fédéral aurait été accepté par les populations....
Mais on a préféré la Guerre... et on joue aux attristés pour une bonne conscience de façade!
C'est minable et monstrueux!
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Paul Chérel Le Samedi 14 février 2015 12:17
Si l'on met de côté les pleurnicheries d'occasion, que reste-t-il de votre prise de position ? Le premier paragraphe à lui seul suffit. Où avez-vous vu et lu une propagande russe ? Tous les médias français, à la solde des gouvernants va-t'en guerre ont pris fait et cause (en français) pour la propagande ukrainienne sans dévoiler les dessous de l'AFFAIRE qui sont de nature géopolitique et économique. Que vient faire l'Europe, incapable de mettre de l'ordre dans son fouillis d'Etats-membres, en Ukraine si ce n'est de la provocation ? On se croirait en 1870, en 1914 et en 1939. Paul Chérel
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PIERRE CAMARET Le Dimanche 15 février 2015 10:44
Helas , Paul , nous sommes tres peu a penser avec raison .
Le circuit court , la FRRRRRRRRRANCE exprime son opinion , ses raisons . Tous au 'Garde a vous "
Tout cela devient lamentable .
On m'a dit , encore une fois on m'a dit , sans certitude qu'il y avait eu un accord avec .. alors l'URSS , lors de la reunification de l'Allemagne .????? que le glacis frontiere etait gele pour..... des annees .
Mon commentaire ne passera peut etre pas une nouvelle fois . Rien a cirer il sera envoye a mes 43 correspondants en Asie :
L'influence allemande dans l'Est . Lors de l'occupation de Kiev par la Wehrmacht ( Kiev a ete la premiere Capitale de la Russie ) 82 000 ukrainiens etaient volontaires pour rejoindre la Wehrmacht .
L'Estonie aurait fourni 200 000 hommes a la Waffen SS.
Il y a parait il une parade annuelle des anciens SS en Estonie .A ce sujet les SS francais et les SS estoniens , auraient ete les derniers defenseurs de Berlin .
Je ne crois pas que ces populations avaient une sympathie particuliere pour les Nazis , mais les allemands etaient pour eux une opposition aux Sovietiques. Difficile a dire , dans les milieux bien pensants francais , alors les commentaires sont censures ..... Charmant pays , gardez le.
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Christophe David Le Lundi 16 février 2015 09:18
@Yann Bleiz
Merci pour ce témoignage qui vient prendre un peu à contrepied les analyses hors-sol qu'on voit fleurir sur le sujet sur ABP, notamment sur ce même post.
Je ne pourrais que conseiller à tout un chacun qui prétend vouloir donner un avis éclairé sur la crise en Ukraine de se payer un vol vers Kiev et d'aller voir par soi-même qui sont ces gens, comment ils vivent, qui ils sont.
Ce qui est attristant, c'est de voir les "analyses" de bretons qui nous sortent le coup de la collaboration envers l'Ukraine qui revendique son indépendance comme on l'a fait et on continue de le faire envers les bretons.
ps: Les écoles de Kiev sont surpeuplées en cette nouvelle année scolaire du fait de l'arrivée des populations en provenance de la Crimée et des régions de l'Est.
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PIERRE CAMARET Le Lundi 16 février 2015 23:36
Il faut gratter un peu l'histoire pour apprendre qu'il n'y a rien de nouveau .
Les Ukrainiens , les Estoniens et autres avaient applique l'adage des irlandais :
= English difficulties , Irish opportunities-
Simple et sans parade . C'est une strategie ..... mais les Bretons ne l'ont pas encore assimilee
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Yann LeBleiz Le Mardi 17 février 2015 11:33
@ Christophe David
Trugarez bras,
Oui j'ai pris un billet, je connais Kiev, le sud de l'Ukraine et la Crimée (magnifique la Crimée).
J'ai même visité une ancienne base de missiles stratégiques nucléaires, où les ex-soldats nous expliquaient que nous étions leurs cibles (notamment la Bretagne), et que c'était de la folie car ils préféraient de loin le projet Europe.
J'ai regardé ce que j'avais autour de moi, j'ai discuté avec les gens, les ukrainiens et les russes,(pas toujours facile, l'anglais n'est pas encore très rependu), j'ai ouvert les livres d'histoire, j'ai visité les musées... (je suis loin de tout connaitre et le but n'est pas là).
L'Ukraine est un pays formidable, une grande richesse culturelle et historique, des gens avec une bonne formation, une honte pour nous de méconnaître ce pays plein de potentiel...!
Il faut visiter l'Ukraine, c'est formidable.
Vive le droit des Urkainiens d'entrer dans l'UE, et vive le droit des Russes de décider pour eux-mêmes!
(Tout comme je souhaite la même chose pour les Bretons!)
Il faut le dire et le répéter : Cette guerre n'est utile que pour les Etats-Nations qui pourrissent le projet Europe (la France en tête)!
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SPERED DIEUB Le Mardi 17 février 2015 13:05
On oublie le poids important des lobby militaro industriels liés aux états nations dans le déclenchement des guerres ,et l'échec des tentatives d'armistices,il faut bien liquider les stocks ... Le Drian ne disait t-il pas ouvertement récemment que les différentes guérillas dans le monde était une opportunité pour l'industrie de l'armement français ,et cela n'émeut personne ,même pas les mouvements bretons il me semble Je vais pour une fois caricaturer aussi ,la France troisième marchand d'armes du monde vend des canons et importe des cochons et des poulets aussi ,au détriment de l'élevage breton C'est peut être grâce à ce commerce que l'hexagone va éviter la faillite ,mais toute médaille à son revers ,et gare au retour de manivelle violent ,on en a déjà des avant gouts .Ceux qui stigmatisent,même à juste titre l'agriculture industrielle ,se devraient de réfléchir un peu ,car cette activité qui contribue à répondre à l'alimentation des grandes concentrations urbaines est de loin un moindre mal par rapport à l'industrie de l'armement .
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SPERED DIEUB Le Jeudi 19 février 2015 10:09
Je vous propose un article en lien avec le sujet mais il ne va pas tout à fait dans votre sens
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SPERED DIEUB Le Jeudi 19 février 2015 18:18
Je suis surpris aussi que vous paraissez inconscient de la menace que fait peser l'ours sur les pays baltes
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Sebgi35 Le Jeudi 19 février 2015 18:44
L'ours comme vous le nommer n'attaquera jamais les Pays Baltes car ce serait attaquer L'OTAN et les Américains. Mais notre propos n'est là, il est sur l'Ukraine.
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SPERED DIEUB Le Jeudi 19 février 2015 20:07
Moi si j'étais vous je ne dirais pas jamais ,je dirais peu probable .Pendant un moment j'ai eu des doutes sur les intentions belliqueuses de Poutine,j'ai pensé aussi que la Russie se sentait menacée dans sa zone d'influence mais vu la tournure des évènements j'en ai de moins en moins Et concernant les pays baltes une partie non négligeable de la population est russe ,voilà encore des sous marins potentiels de Poutine et quand bien même il voudrait les maitriser ,il aura maintenant du mal à les tenir en laisse et c'est peut être le scénario à l'est de l'Ukraine malgré les accords de Minsk
Mais effectivement ce foyer incendiaire au coeur de l'Europe peut s'embraser ,des avions russes ont survoler la Manche l'autre jour ce n'est pas pour rien La marine russe de Mourmansk pourrait lancer une attaque surprise par la Bretagne ,ce serait un cataclysme car notre pays servirait de terrain de combat
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SPERED DIEUB Le Vendredi 20 février 2015 23:17
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ukraine-obama-veut-il-la-guerre-163830
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SPERED DIEUB Le Lundi 23 février 2015 22:58
Je vous recommande de lire l'article ci-dessous il remet en cause votre analyse ,mais tout le monde ale droit de se tromper ...
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SPERED DIEUB Le Jeudi 26 février 2015 23:06
le poutinisme !!
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SPERED DIEUB Le Samedi 28 février 2015 09:08
Similitudes troublantes avec l'assassinat de Jean Jaures ....
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