Les Bretonnes et Bretons ne se sont jamais autoproclamés habitants du "pays des droits de l’homme"..... Mais la solidarité chez nous n’a jamais été un vain mot et elle est d’ailleurs de plus en plus nécessaire, face à cet état central, représenté par des préfets ayant tout pouvoir pour appliquer sans réflexion, des textes répressifs, qui assimilent une courageuse mère de famille et sa petite fille, réfugiées du Daghestan, à des délinquants primaires. Quand un pays en est à promulguer des lois sous condition qu’elles ne soient pas appliquées, s’acharner sur des personnes qui ont déjà tant souffert est- il nécessaire et important ? Un peu d’humanité suffirait pourtant à régler ce cas douloureux !
Pour le Parti Breton du Léon, Bernez Géléoc