En septembre dernier, le gouvernement a présenté un plan logement censé créer le « choc de l’offre » souhaité par le Président de la République visant à « construire plus, mieux et moins cher », à « répondre aux besoins de chacun » et à « améliorer le cadre de vie» de nos concitoyens. Les mesures concrètes annoncées Pour y arriver, le ministre de la Cohésion Sociale a annoncé un recentrage géographique du Prêt à Taux Zéro (PTZ) et de la défiscalisation Pinel, l’allégement de l’impôt sur la vente de terrains, la modification du Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique (CITE), la diminution de la taxe d’habitation pour 80 % de la population ou encore la création d’un « bail mobilité ». Ces mesures concrètes seront incluses dans deux grands textes : la loi de finances de 2018, adoptée fin décembre et appliquée dès le 1er janvier 2018, et une « loi logement », qui sera présentée fin 2017 pour une adoption mi-2018. C’est pourquoi une concertation avec les acteurs du logement, les derniers arbitrages ministériels et débats parlementaires peuvent encore faire évoluer les dispositions qui ont pu être communiquées. En relais de l’association des maires et présidents des EPCI du Morbihan L’association des maires et des présidents des EPCI du Morbihan m’a récemment fait part de ses inquiétudes quant aux effets que ces mesures pouvaient concrètement avoir sur notre territoire. En réaction, je me suis fait le relais de ses craintes et préoccupations dans une lettre que j’ai adressée au ministre de la Cohésion Sociale. Je vous invite à prendre connaissance de ce courrier en cliquant sur le lien ci-dessous. Paul Molac – Courrier Logement Jacques Mézard – 17.10.2017