Lancement de Bretagne notre avenir à Carhaix le 1er mars
Le samedi 1er mars, cent cinquante personnes ont rallié la cause de Bretagne Notre Avenir pour élaborer une nouvelle vision pour la Bretagne.
Par Bretagne Notre Avenir pour Bretagne notre avenir le 4/03/25 7:43
Le samedi 1er mars, cent cinquante personnes ont rallié la cause de Bretagne Notre Avenir pour élaborer une nouvelle vision pour la Bretagne.
L'enthousiasme palpable et les nombreux messages de soutien reflètent le désir actuel de la Bretagne d'apporter des solutions à une situation politique et économique alarmante.
De nombreux citoyens bretons se sont associés à Bretagne Notre Avenir en signant notre charte fondatrice. Ce document de cinq pages souligne l'importance de nos valeurs humanistes, de tolérance, et le respect absolu de la dignité humaine et des peuples.
Nous croyons fermement qu'un projet pour la Bretagne ne peut être conçu sans ces valeurs humanistes essentielles.
La conjoncture actuelle, marquée par l'essor des extrémismes, fait qu'une réunion publique ne peut plus se tenir sans intrusion indésirable de personnes d’extrême droite ou d’extrême gauche.
Ceux du PNB, en particulier, n’ont pas leur place dans notre mouvement Bretagne Notre Avenir.
Lorsqu'un militant du PNB a pris le micro, nous avons réaffirmé que l’extrême droite n’a aucune place dans notre assemblée.
Comme il a été souligné lors du discours inaugural, Bretagne Notre Avenir est ancré dans les valeurs humanistes. Notre seul but est de construire un projet breton pour redonner de l’espoir à nos compatriotes et endiguer la montée inquiétante des extrêmes et toutes formes de haine.
Bretagne Notre Avenir s'engage à mobiliser toutes les énergies disponibles et à continuer le travail pour redonner aux Bretons les rênes de leur avenir, en toute indépendance des partis politiques parisiens et centralistes.
Le projet que nous jugeons vital pour la Bretagne sera rédigé par les Bretonnes et les Bretons eux-mêmes.
Nous vous convierons très prochainement pour entamer le travail substantiel.
Bretagne Avenir est un mouvement politique non partisan dont le but est de rassembler dans le contexte des élections municipales de 2026 en Bretagne Historique.
C'est une excellente initiative, un mouvement en dehors des partis qui eux font des programmes alors que la Bretagne n'a pas de pouvoir de décision, en gros ils mettent la charrue avant les bœufs, ils contribuent aussi à la division des militants du fait que l'objectif commun d'émancipation de la Bretagne est mise à mal à cause des divisions sur les problèmes sociétaux et autres. Cependant n'oubliez pas que l'économie est le nerf de la guerre, aujourd'hui plus que jamais parfois malheureusement. Par ailleurs si voulez rallier la population évitez de vouloir laver plus blanc que blanc.
Bretagne notre avenir souhaiterait s'investir aussi dans la campagne des élections régionales. J'espère qu'une "nouvelle vision" viendra bousculer le ronron habituel, en demandant à ce que le CR B4 cesse de se contenter d'émettre des vœux en faveur de la Réunification, alors qu'il peut faire une demande en bonne et due forme. Quant à l'organisation d'une consultation des électeurs du CD 44, elle est bien du ressort du CD 44. Je crains cependant que l'analyse de la stratégie à élaborer en vue de la Réunification soit le principal obstacle à l'unité des militants bretons, à moins de continuer à faire semblant d'être motivés par la Réunification.
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Granville Emile Le Mercredi 5 mars 2025 11:28
Comment obtenir la charte fondatrice mentionnée dans le communiqué ?
> "il a été rappelé que l’extrême droite n’avait rien à faire dans la salle" et re-belotte !... Le mot "extrême-droite", importation du dialecte parisiard, se réfère à plusieurs partis qui font 33% en Bretagne et 41% dans l'Hexagone. Pourquoi fonder un mouvement pour l'avenir, en s'aliénant d'emblée un tiers de la population ? croient-ils que c'est mieux chez les 67% restants ? sérieusement, le souci de l'avenir de la Bretagne est-il plus marqué chez les défenseurs du chichon ? ou parmi le dernier réduit d'optimistes de la mondialisation ? Les "discussions de fond" auraient du se faire en amont. C'est de l'amateurisme politique.
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Alan E. VALLÉE Le Vendredi 7 mars 2025 11:38
L' "ardente obligation" qui devrait moralement et politiquement s'imposer au Mouvement breton, devrait être de faire comme si le système électoral proportionnel en vigueur, mis en place par le pouvoir jacobin et à son bénéfice, était abandonné pour être remplacé par un système majoritaire à un seul tour incitant à "Voter Breton" et non pour un groupuscule, fut-il honorable. Cet effort n'est ni compliqué, ni coûteux mais seulement indispensable. Le but est que chaque prétendant aille à l'essentiel c'est-à-dire la Bretagne qui nous outrepasse, qui doit être réunie non pour l'économie, l'écologie, les langues, le Plan routier, etc mais pour elle-même. NB : Pas de ''rattachement" de la Loire Atlantique, ni de réunification comme ruse pour un fumeux "Grand Ouest" au bénéfice de l'hubris nantaise. ... Bretagne réunie, qui n'est ni "de Droite", ni "de Gauche", et qui ne sera pas conforme aux voeux des individualités et idéologies y compris militantes. Le moyen est la conscience bretonne, le refus catégorique de toute instrumentalisation de la Bretagne qui serait au service d'une stratégie de conquête du pouvoir en France, et même un effort d'humilité sur et par soi. Sinon, et c'est à craindre, c'est foutu. Et il ne resterait plus alors qu'à regarder sur France 3 la Météo de la Bretagne administrative ! AV
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T. Gwilhmod Le Samedi 8 mars 2025 10:29
je soutiens Mme Glon. Le gauchisme est fini cliniquement. Le PNB rencontre une opinion en Bretagne à cause du problème du remplaçement problème numéro un en France. QQ chiffres: - 35 % des habitants de la Bzh n'y sont pas nés ; - une naissance sur trois au moins est issue d'au moins un parent né hors UE, très largement africaine Dans ces conditions l'Emsav devrait se demander ouvertement comment faire pour survivre devant ce nivellement. A mon avis deux axes : - faire des enfants - renouer avec la foi chrétienne, origine de nos valeurs de toujours.
Je ne sais pas si vous avez évoqué le risque d'embrasement du monde et ses conséquences pour la Bretagne, qui du fait déjà de sa position géographique est stratégique. Sans vouloir minimiser la menace russe, il est clair que le président français en abuse pour redorer son blason et ambitionne d'être le leadership de l'Europe, il se fait le chantre du réarmement qui serait d'après certains élus une chance pour la Bretagne ?? J'estime pour ma part que avec cette militarisation à outrance de notre péninsule l'alignement des planètes serait total pour en faire une cible de choix dont les conséquences en cas de bombardement, voir d'invasion seraient cataclysmiques d'une autre ampleur que les destructions de la seconde guerre mondiale limitées aux villes. La présence de l'ile longue étant un facteur aggravant. Voilà malheureusement une opportunité à partir de ce constat, qui a la capacité d'entrainer une de conscience de la population bretonne qui potentiellement est menacée, alors qu'il est très difficile de la faire adhérer en masse sur les autres thématiques.Je vous conseille de prendre ce sujet à bras le corps pour que avec le sur tourisme nous n'ayons pas a payer encore le prix fort d'une éventuelle extension de la guerre en Europe et l'emprise des lobbies militaro-industriels ce prix fort que nous avons payé en pertes humaines en 14 18 notamment
Pour ce qui est de la toponymie, ne serait-il pas possible de sensibiliser les conseils municipaux déjà en place ? A Spézet, la municipalité avait fait appel à l'expertise de l'Office public de la Langue bretonne. C'est l'occasion de citer cette démarche en exemple aux communes voisines. Expédier un courrier ne sert à rien, mais les réunions plénières sont ouvertes au public. Il a moyen de faire une communication avant l'ouverture des débats, il faut faire court et demander comment prendre rendez-vous. Faute de nouvelles, on peut réintervenir à la réunion suivante du Conseil municipal. Au bout d'un moment, on fait un bilan des quelques démarches entreprises à différents endroits. On essaie de comprendre ce qui est efficace et ce qui bloque.
. Source :Bretagne notre avenir
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