Y. Maneguen Le Samedi 13 août 2011 21:26
"Faot a ra deoc'h deskiñ brezhoneg ?"
Se a zo "brezhoneg-pilhoù".
"Daoust hag eñ e fell deoc'h deskiñ brezhoneg ?" a zo hiroc'h met kalz brezhonekoc'h.
Poser cette question en breton n'a aucun sens puisque celui qui comprend la phrase l'a forcément un peu appris.
Cette question par ailleurs est très dangereuse car venant d'un ennemi objectif, le Télébramm, on voit très bien en liminaire que la démocratie sondagique aurait prétenduement légitimité à trnacher cette affaire du breton, véritable épine dans le pied du monde de l'Extracon.
Même le jour où il y aura des minarets à Ploudalmézeau, le nom fera quand même référence à cette Bretagne bretonnante et chrétienne qui est la véritable pierre d'achoppement.
Oui le breton existe et m^me minoritaire (on parle largement plus le Turc dans le 29 que le breton) il est légitime car il est le vecteur naturel de la communauté des Bretons. Si vous parlez français vous êtes frnaçais c'est aussi simple que cela.
Après il faut voir plus loin : que voulez vous faire de votre breton... si ce n'est fonder une société concurente de la frnaçaise sur cette péninsule , une société plus humaine donc - à mon avis - plus conforme à la loi naturelle donc au bout du compte à la ligne historique devla bretagne et à son capital accumulé depuis quinze sciècle : la chrétienté. Si les bretons arrivent en précurseurs à créer une nouvelle société moderne en accord avec l'evangile, cela fera un tabac et donnera envie auc bretons de changer de langue. Car à quoi bon se battre pour le 44 en BZH quand rien ne change au fond ???
Diwyf Le Vendredi 19 août 2011 21:57
Apprendre le breton pour "créer une nouvelle société moderne en accord avec l'Évangile"...
Gast ! An dra-se a gas c'hoant da baouez deskiñ brezhoneg 'meus aon !