Ils ont commencé à jouer ensemble il y a juste un an, mais viennent de monter sur scène. Il sont jeunes et viennent d'horizons différents. De Brest, de Saint-Brieuc, du Centre-Bretagne mais aussi d'Australie (la violoniste) ou d'Allemagne (la chanteuse). Ils partagent un amour de la musique d'inspiration bretonne. Musique post-moderne. Les costumes aussi. Ils mixent danses bretonnes et rock'n'roll. Ils ont fait le pont entre le kan ha diskan et la techno. Mêmes rythmes tantriques. Ils incorporent aussi des influences tziganes ou des Balkans ou même de la musique classique. Ça dégage !
Hier à l'évêché, les Quimpérois étonnés les ont découverts et en redemandaient.
Leur premier album déjà enregistré sortira en octobre. Il est en souscription (voir le site)
Philippe Argouarch