Le président de l'Assemblée de Corse rebondit sur plusieurs événements, le salon, étant lui-même écrivain, la situation en Catalogne : "le droit se plie toujours devant la volonté politique", et enfin l'affiche du salon du livre, féminisant le drapeau corse.
Il rend hommage aux "Antigone" corses, comme Maria Gentile-Paoli, femme qui avait enterré son mari contre les instructions de la police. Il en profite pour rebondir sur les femmes du monde qui se battent pour leurs pays comme au Kurdistan. Et en écho international, on pourrait rapprocher ses déclarations de la contribution étonnante d'une diplomate cubaine pour le peuple palestinien...