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Malgré la rentrée imminente, malgré le soleil qui invite plus à savourer la fin des vacances, les familles Diwan, les syndicats, les élus, les citoyens concernés ont répondu présents ce samedi matin sur la place de la Résistance à Quimper.
La détermination des personnes ayant pris la parole montre plusieurs aspects du problème : l'absence de concertation avec une suspension des contrats demandés mi-août, l'ignorance et le dédain pour ces postes, certes précaires, mais qui concernent 160 000 salariés qui vont être "licenciés", 160 000 personnes sur lesquelles comptent les écoles, les organismes sociaux, les associations d'handicapés, d'insertion sociale, d'éducation populaire...
Alors, au lieu de tomber dans la victimisation (certaines écoles vont devoir remplacer deux à six postes à la rentrée en se "débrouillant"), les orateurs parlent de "vrais" contrats de travail qui permettent à tous ces travailleurs, bretonnants ou autres, d'accéder à un emploi durable, pérenne qui installe définitivement les écoles associatives dans un schéma de développement éducatif, social et culturel en Bretagne.
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