Naon-e-dad Le Lundi 16 juillet 2012 19:23
Les explications ci-dessus ont dû laisser perplexe plus d'un lecteur.
La clef de l'assainissement réside dans la suppression des points d’accès au cours d'eau par le bétail.
C’est alors que les abreuvoirs automatiques rentrent en jeu, à condition qu’ils soient placés suffisamment loin des rives du réseau hydrographique naturel. Le but est d’éviter que les bouses bovines ne polluent directement les cours d’eau. Tout cela est bien expliqué dans l’interview de M. Jambou (pdf téléchargeable sur le site de la COCOPAQ : www.cocopaq.com/Environnement/Milieux-naturels/Aven-Belon-Merrien)
Remarque : de petits modèles d’abreuvoir utilisant ce principe fonctionnent depuis des lustres dans les étables bretonnes, quand les troupeaux sont à l’étable en hiver. Où l’on voit qu’il faut parfois du temps, un espace d’écoute et de rencontre, et aussi une incitation financière, pour étendre le champ d’application d’une idée déjà opérationnelle dans un autre contexte.
Evit echuiñ, spi braz am eus ne ran ket gant “galleg-saout” ! Spi brazoc’h am befe d’ober gant “brezhoneg flour”! Evit gwir, lâret e vez ar c’hontrol-mik en hon yezh: galleg-flour ha brezhoneg-saout, hervez kont. Labour zo d’ober c’hoazh evit ma cheñcho spered an dud…! / J’espère que mon français est de qualité, j’aimerais aussi que mon breton le soit tout autant. Pour les non-bretonnants, je fais ici allusion à deux expressions typiquement bretonnes.