(Les autres titres auxquels vous n'allez pas échapper)
— D'un démantèlement à l'autre.
— Rappelle-toi, Barbara …. Il neigeait ce jour là !
— Fin de manche, un petit répit musical et ironique s'impose….
« Q 790 » a rejoint Hartlepool au nord-est de la Grande-Bretagne, pas très éloigné de Nottingham, de cette terre d'Écosse bien connue pour ses légendes "féodales".
L'ex-Clemenceau a-t-il enfin trouvé le bon port ? Après ce remorquage de plus de 1400 km, un point d'arrivée portuaire d'un genre nouveau et de la quatrième dimension ! Normal ? Ou respect des coutumes de la région ?
Dans ces contrées septentrionales où il existe des cales sèches et humides à la fois. De ces chantiers fantômes et imaginaires, de ces parkings à bateaux américains échoués là, à attendre les jours sans lendemain, toutes les propriétés de cet industriel qui affirmait haut et fort et dans un premier temps : que son « usine » navale est équipée de bassins étanches, et de raconter aux journalistes trois lignes plus loin, sans aucune commune mesure, que "les portes qui ferment ce fond de rade seront opérationnelles dans huit semaines, juste après que le barrage de ce fond de chenal soit achevé !" dit il, à quelques mots près, sans que cela ne déclenche ni émotion ni scandale.
— Étonnant non?
Alors que la crise pompe sans cesse, et nous vide d'emplois, nos responsables politiques (en position dominante) et administratifs ont décidé de brader à bas coûts ce potentiel de travail.
— À l'heure et au jour "O" l'Omniprésident distribue des milliards aux banquiers et fabricants, les dirigeants n'auront apporté aucune imagination à faire naitre, en l'espèce et cas d'exemple, de profiter des conditions économiques et déontologiques environnementales, à se servir de cette coque médiatique pour la création en amont d'une filière de démantèlement des navires en fin vie, ici dans la cité du Ponant, au plus loin dans la pointe de Bretagne et dans le Continent européen si souvent mis en exemple par ces mêmes dirigeants.
— Pen ar bed, la fin de cette terre encerclée par l'une des plus grandes autoroutes maritimes et mondiales, et incapable de mettre en place cette synergie nécessaire pour l'élaboration de ce chantier d'avenir, lui préférant mettre en scène ces magnifiques et vieux gréements, dans des organisations de festivals aux équilibres économiques que l'on connaît.
La carte postale oui, la cale à ferraille, non.
— Une foi de plus, à faire l'autruche, et si à Brest, nous pouvons regretter de ne pas avoir cette féérique capacité à pomper, qui diable a bien pu appeler ce quartier de la cité du Ponant, "Les 4 pompes" !
Échos ! C'est pour qui, "Les coups de pompes" ?
— Hier encore la presse régionale faisait état, et sauf erreur de ma part, d'une dépense de près de 17 millions d'euros pour le périple et la facture de ce marché international ! Un marché international, validé et entériné dans ces conditions n'est que pur arrangement.
— Ou alors, comment expliquer que le simple plombier du coin devra, lui, faire preuve de sa capacité et de la réalité de sa logistique et de ses moyens techniques d'exécutions, pour simplement produire le devis chiffré pour la pose de la cuvette à commission de ce patron ou encore pour les agréments .. …. du Pacha !
— Il fut un temps, certains voulaient faire passer les vessies pour des lanternes, faudrait pas pour autant, à nous, faire croire que quand la cale est sèche tout le monde il est plein ! Foi de Breton !
— Et surtout, ne tentez pas de comprendre pourquoi j'y ai mis cette compétition de sports nautiques en fin de sujet. Car en réalité, ce n'est rien d'autre que "Jaky", ce Robin des Bois marin, et vue sa rapidité d'intervention en vérifications « sociales », ce qui ne m'a pas autorisé de le filmer plus serrer, et pour le son, je n'ai retenu que ce juron :
"Mais bordel ! Il est où le bouchon ?"
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