yan Le Samedi 12 août 2017 09:00
Ma,
mard eo gwir pezh a lavar J Ollivro, livirit din perak ez eus bet postet war-dro 1 miliard a euroioù gant Rejion Bretagne, da leveret eo war-dro 1 bloavezh eus hec'h arc'hant, gant kenasant an holl aozadurioù patroned, bankoù, dilennidi PCF-PS-UDB-UDI-MODEM-UMP (ar re C'hlas n'ouzon ket, marteze n'ouzont ket o-unan), "da vont buanoc'h", "da vezañ tostoc'h" (tostoc'h da betra ?) tra ma veze laosket linenn Brest-Kemper da vreinañ ; fentusat, en em lakaet oa UDBiz en hent da zifenn al linennoù... goude bezañ kuitaet ar c'huzul.
Paul Chérel Le Dimanche 13 août 2017 10:52
Je ne suis pas bretonnant mais ayant appris un peu de breton à Paris, ayant même obtenu un "trec'h kenta" dans des temps anciens, j'arrive à peu près à lire et comprendre un petit article comme celui-ci et son commentaire. Je suis un fervent défenseur de la langue et considère que la France commet un véritable crime contre l'humanité en faisant TOUT ce qu'elle peut pour éliminer au plus vite les langues non françaises qui subsistent encore sur les territoires qu'elle a conquis, souvent malhonnêtement.
Ceci dit, j'aimerais bien que ces échanges en breton soient suivis d'une traduction en français, non pas par allégeance envers la France, mais tout simplement parce qu'il n'y a pas beaucoup de Bretons vivant en Bretagne et ailleurs qui connaissent la langue de leur vrai pays, mais aussi et surtout, parce que de nombreux Bretons bretonnants n'arrivent pas à la lire. Du coup, écrire en breton devient presque pédant et réservé à une élite. Ce n'est certainement pas le but recherché. Une traduction, même émaillée de locutions "à la bretonne" aurait certainement beaucoup d'impact et permettrait même aux "apprenants" de faire de progrès en vocabulaire. A greizh galon. Paul Chérel