konan Lasceau Le Vendredi 6 novembre 2015 11:32
Comme tous les peuples et nations qui ont perdu leur culture, leur nation, leurs langues et qui ne savent plus qui ils sont, ils errent tels des zombies, alors ceux-ci se réfugient dans les drogues et l'alcolisme.
il n'y a qu'a voir les indiens des réserves d'Amérique, les inuits du pole nord, les arborigenes d'Australie... etc - Toutes ces populations déracinées, déculturisées mais on retrouve aussi ces mêmes problèmes en nouvelle calédonie, guadeloupe,La réunion, polynésie.
Quel fierté a vivre des subsides des maîtres ?
Le chien attaché à la niche de son maitre est-il heureux ? ou souhaiterait-il gambader à sa guise.
l'humain ou l'animal est toujours esclave chez son maître.
Magalie Rodriguez Le Vendredi 6 novembre 2015 19:39
En effet ... mais je rectifie une info. Aucun classement officiel ne dit que la Bretagne est en haut du classement. Seule Vannes brille pour sa sécurité dans les sondages. Et Nantes ... mais si Nantes, plus rarement Rennes, font à mon sens partie de la Bretagne, elles ne sont pas au diapason d'une Bretagne contemporaine, mais ressemblent à des villes françaises... Pour découvrir la Bretagne, il faut passer Rennes
et Nantes justement. http://www.lesechos.fr/infographie/2015-06-22-Zones-emploi/zones-emploi.html
http://photo.femmeactuelle.fr/10-villes-ou-il-fait-bon-vivre-en-france-1368#poitiers-la-championne-toute-categorie-19630
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/le-genevois-francais-annecy-chambery-bourgoin-jallieu-dans-le-top-10-des-lieux-ou-il-fait-bon-vivre-en-france-773277.html
C'est justement parce que la Bretagne n'est pas en haut du palmarès des régions de France où il faut bon vivre qu'il est temps de s'interroger sans tabou.
Pôtr ar skluj Le Samedi 7 novembre 2015 00:28
Je pense que le suicide et l'alcoolisme sont des pathologiques ethniques, un peu comme la maladie de l'homme de fer, contre lesquels on ne peut pas grand-chose. Tous les auteurs qui de Poséidonios à Ernest Renan ont décrit le caractère des Celtes ont évoqué cette propension aux excès et à la mélancolie.
Philippe Guilloux Le Samedi 7 novembre 2015 09:12
a défaut d'étude, il faut lire le livre de Jean-Yves Broudic sur le sujet. Jean-Yves est psychanalyste et y décrit les phénomènes de traumatismes qui saute une génération. Il y décrit par exemple l'impact du traumatisme de la grande guerre sur la population bretonne.